
Influencée par des artistes comme Lauryn Hill, Radiohead, Björk, ainsi que des sonorités comme le reggae, Mary May mêle sans efforts ces riches influences avec ses racines congolaises, afin de créer un univers unique dans lequel elle y raconte son histoire.
La compositrice Mary May ambitionne ici de rendre hommage à son ascendance africaine, à une culture dont la transmission orale a suscité « sa curiosité, sa créativité ainsi que cette quête d’authenticité qui l’ont toujours animée », quête impérieuse qu’elle ressent comme antidote à l’individualisme grandissant de nos sociétés.